La fin de toutes mes innocences

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il y a 4 ans

Me voilà dans la salle de bain, nue, plus que je ne l’ai jamais été sans doute. Je viens d’être humiliée, utilisée et je ne sais pas ce que je ressens. C’est quasiment automatiquement que je rentre dans la douche. Je fais couler l’eau très chaude et essaye de me relaxer. Tout se bouscule dans ma tête mais l’eau m’apaise, je me regarde dans cette vapeur et ne me vois plus la même. Je commence à prendre conscience de ce qui m’est arrivé.

Ma virginité s’est envolée d’une manière que je n’aurais pas imaginée mais j’y aie pris du plaisir. Mon corps m’appelle, il aime ces nouveaux plaisirs mais je sais que c’est mal. Je vais me venger ! Je me savonne tout le corps, je ne peux m’empêcher d’insister lorsque mes mains passent sur mes seins, et encore moins lorsque je touche enfin mon sexe, dépourvu de toute pilosité. Il est si doux que mes doigts s’y attardent. Pour la première fois et presque malgré moi, je commence à me caresser. Je sais que je ne dois pas mais mes membres agissent sans mon consentement. Mes doigts écartent mes lèvres doucement, je frôle mon clito, il me répond tout de suite.

L’eau chaude caresse toujours mon corps pendant que je descends vers mes profondeurs. Mon autre main me caresse les seins. Je voudrais avoir plus de mains, c’est tout mon corps qui me remercie d’enfin m’occuper de lui. Je brûle à nouveau de l’intérieur et le plaisir me vient de partout. Je presse doucement un de mes tétons bien bandés et suis revenu sur mon clito pour atteindre l’orgasme. Mes jambes tremblent, tous mes muscles se contractent et je ne peux m’empêcher de gémir.

Je ne sais pas ce qui m’arrive mais il est assez inquiétant de constater comme je déconnecte complètement et comme mes sens prennent le contrôle depuis ce matin. Je finis de me laver et fille dans ma chambre. Je dois traverser le couloir nue mais heureusement, il n’y a personne. Ma robe gît devant ma porte, je la ramasse et me glisse vite sous les draps après avoir enfilé mon pyjama.

  • Van, on va manger, il faut que tu te lèves maintenant, et puis les vacances c’est pas pour dormir…

  • Hmmmmmmmmm

J’ai dormie comme un loir. Les douces senteurs de la cuisine facilitent mon réveil. Je me sens bien ce matin et je me lève du bon pied. Cette journée sera bonne, je vais effacer tous ces tracas d’hier. Une bonne mise au point avec ma sœur et je vais essayer d’oublier toute cette affaire. J’enfile mon maillot, passe en coup de vent à la salle de bain pour me débarbouiller et rejoins le reste de la tribu. Mon frère à une petite mine mais il était là avant moi. Ma sœur me regarde avec un sourire qui en est presque inquiétant. Mes parents me racontent leurs fresques d’hier, si ils savaient… Je sourie et acquiesce sans pouvoir m’échapper du poids du regard fraternel. Nous mangeons quand soudain l’horizon s’assombrit.

  • Marc nous a invité à assister à un grand spectacle à son hôtel, il passera nous prendre vers 15 h, ça ne vous pose pas de problème ?

  • Bien sûr que non ma chérie, c’est les vacances, amusez-vous !

  • Moi j’irai pas…

  • Van et moi sommes décidée en tout cas !

Dimi qui n’y va pas, et cette garce ne me laisse pas le choix. Son regard est fixé sur la caméra qui est à coté d’elle depuis le début de cette conversation, le message est clair. Le reste du repas se passe sur un ton léger mais je suis songeuse, qu’est ce qu’elle me prépare encore ? Elle reste tout le début d’après midi sur la terrasse avec les parents de sorte que je ne puisse pas l’interpeller. Voyant l’heure arriver, je vais dans ma chambre et enfile un short, le plus long en fait. En dessous j’ai pris soin de mettre ma culotte la plus sage (parmi les sages) et un simple T-shirt couvrant un soutien gorge sans fantaisie aucune. Ma sœur est à la sortie de ma chambre et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit :

  • C’est peine perdue, c’est pas en t’habillant ridicule que tu vas t’en sortir… Il y aura d’autres premières aujourd’hui. Et le pire c’est que je ne suis plus sure de te faire payer quelque chose ! Je me demande si je ne te rends pas service ? Mais bon, c’est drôle alors…

Je suis encore sans voix, qu’est ce que je peux répondre ? Je commence à me rendre compte comme elle a pris le dessus. Avant de songer à me venger, je ferais mieux de me concentrer sur mon salut. Et ma seule chance c’est de retrouver la cassette. Ca sera désormais mon objectif numéro 1. La sonnette me sort des mes considérations stratégique. Je suppose que c’est l’autre porc !

  • Ah te voilà… Tu as l’air en forme !

  • Oui, ça va pas mal du tout… Notre jouet est prêt ?

  • Oui, elle arrive… VAN !!!!!!

J’avance dans le hall, je n’ose pas lever les yeux. Un jouet ? Non mais ça va pas ou quoi ?

  • T’es en forme cochonne ? J’espère parce qu’on va bien s’amuser aujourd’hui…

Je reste silencieuse, il n’y pas de commentaire à faire devant des stupidités pareilles.

  • Elle ne parle plus… Elle devrait en profiter, elle ne sera peut-être pas en mesure de le faire toute la journée !

Et les voilà repartis dans un fou rire ! Ils s’entendent bien, pourquoi ils s’acharnent sur moi ? Je suis invitée à les suivre jusque dans la voiture. On me fait asseoir devant, à côté du sac de testostérones. A peine sur la route qu’il pose sa main sur ma cuisse. Il discute de tout et de rien avec ma sœur tout en me caressant les jambes. Si ce n’était pas lui ça ne serait pas désagréable mais je reste en pleine possession de mes moyens. Après 5 bonnes minutes de routes, ma sœur l’interrompt :

  • C’est encore loin l’hôtel ?

  • Je ne sais pas… Encore 5 minutes !

  • Bon il est temps alors ! Donne moi tes sous vêtement de pucelle, ils ne te vont plus de toute façon !

  • Quoi ? Comment veux tu que je ?

  • C’est simple, tu enlèves ton T-shirt et ton short, tu enlèves ce qu’il y a en dessous et tu te rhabilles. C’est pas si compliqué non ?

Je ne bouge pas, mais comme si tout était prévu, ma sœur tire sur le haut tandis que l’autre s’attaque aux boutons de mon short.

  • Ca va, je vais le faire, c’est bon !!!!!!!!

Il n’y a pas une circulation très dense sur cette route mais on croise quand même des voitures. J’enlève mon T-shirt puis mon short, mais c’est moins facile dans cet espace restreint. Je dois me tortiller dans tous les sens. Marc ne doit plus regarder la route… Il ralenti d’ailleurs. Je m’arrête à nouveau, je ne peux pas me mettre nue comme ça. Ils vont arrêter ce jeu stupide.

  • Tu te magnes ou on va être à l’hôtel avant que tu aies fini.

Je vois en effet le début de station balnéaire à l’horizon, mais ce qui m’inquiète encore plus c’est le feux rouge qui est à mi-chemin entre nous et les premiers hôtels. Le temps m’est compté et il accélère le bougre. J’enlève mon soutient et repasse mon T-shirt presque aussi vite. Je tire sur ma culotte et l’enlève tout aussi rapidement, mais j’ai de la peine à faire passer mes genoux au short. Et pendant que je me débats avec le tissu de manière de plus en plus stressée la voiture s’immobilise. A cote d’un 4X4 avec des jeunes dedans, ils sont surélevés et doivent avoir une jolie vu sur le dessus de mon minou tout lisse. Marc baisse la vitre électrique pour nous faire profiter des cris, insanités et autres compliments qui nous viennent d’à coté. J’arrive enfin à me rhabiller. Le feu passe au vert et on avance de nouveau, mais le 4X4 reste près de nous. Les mecs ne semblent pas près à lâcher l’affaire. J’ose enfin relever les yeux vers eux. Ils sont 4, assez mignons et de notre age. Ils crient et gesticulent. Je dois être rouge comme une pivoine. Marc roule lentement et je voudrais qu’on soit déjà dans ce maudit hôtel.

  • Donne moi ton T-Shirt ! Marc on change de route, tu continues, trouves un endroit tranquille.

Alors que je ne bouge pas, ma sœur saisit le bas du vêtement et commence à tirer fort dessus. Elle va finir par le déchirer, alors au milieu des applaudissements de nos voisins je lève les bras et me retrouve aussitôt seins nus. La honte me gagne encore plus mais je sens aussi l’excitation qui renaît en moi. Je me concentre pour ne pas la laisser m’envahir. Je ne suis pas de celle là, je ne suis pas comme ma sœur. Je dois garder le contrôle. Nous traversons maintenant la ville. Avec le tintamarre de la voiture voisine, tous les touristes regardent vers nous, et ma poitrine ne peut pas leur échapper. Ca ne doit pas être extraordinaire ici, le sein nu est une pratique courante mais pour moi ! Dès que nous sortons de l’agglomération, Mes efforts pour rester insensible sont mis à mal quand me sœur passe ses bras autours du siège et me prend les deux lobes en main. Les 4 jeunes deviennent fous et je me sens de plus en plus mal.

Elle me caresse très délicatement, mes tétons lui répondent immédiatement. La main de Marc sur ma cuisse est de plus en plus haute, il glisse le début de ses doigts sous mon short. Je ferme les yeux, je ne veux plus penser. Mais le régime moteur qui baisse et le bruit du clignoteur me ramène vers la terre. Notre voiture s’engage sur une voie de terre. Je suppose que l’autre voiture est juste derrière nous. Après quelques centaines de mètres, on se retrouve devant une belle falaise. La vue est splendide, les mouettes nous regardent de haut et le bruit de la mer sonne faux au milieu du bruit de nos nouveaux amis tellement il est doux. Ma sœur est la première dehors et elle ouvre ma porte :

  • Tu sors, tu obéies et tu ne dis rien compris ! Je ne veux pas non plus que tu regardes par terre, sinon il y a assez de mecs ici pour te le faire regretter ok ?

Je sors donc, torse nu, mes seins gonflés pointant fièrement. Et je regarde donc les gars s’extirper rapidement du 4X4.

  • Salut les gars, on a un petit service à vous demander… Mais y faudra bien respecter les règles hein… Sinon on arrête tout ok ?

  • Tout ce que tu voudras beauté, explique !

  • Voilà, ma petite sœur n’a jamais sucé, elle a besoin d’entraînement ! Mais vous la touchez pas ok. Vous nous prêter juste vos queues et en échange vous avez une pipe ! Ok ?

  • On lui touche juste les seins d’accord ? Ils sont trop biens pour ne pas y toucher.

  • Ok, marché conclu.

Je n’ose pas croire ce que j’entends. Elle ne veut quand même pas faire ça… Mais je n’ai pas le temps de douter longtemps ! Alors qu’elle revient vers moi je vois les gars qui tombent le short et les caleçons et qui avancent doucement, les membres en main vers moi. Ma sœur passe derrière moi et pendant qu’elle fait doucement descendre mon short dévoilant encore une fois mon sexe :

  • Tu vois soeurette, c’est pas drôle de sucer une queue molle, alors en te déshabillant comme ça devant eux, on va essayer le leur filer tout de suite la gaulle.

Ils sont maintenant tous les 4 devant moi et en quelques secondes je me retrouve complètement nue et offerte. La peur à pris le pas sur l’excitation de tout à l’heure et je me demande vraiment ce qui va arriver. Elle recommence à me caresser mais cette fois, ces mains venant toujours de derrière passe sur tout l’avant de mon corps. Elle est délicate et sait y faire. Ses caresses se font de plus en plus appuyées et précises. Ses mains se plaquent sur le haut de chacune de mes cuisses et les tirent pour qu’elles s’ouvrent. A quoi bon résister, je ne peux que perdre. Je laisse donc mes jambes s’ouvrirent pensant que ses doigts allaient venir s’y introduire :

  • Toi, tu bandes bien maintenant, tu seras le 1er. Avances toi !

Il a un plus petit membre que Marc, il avance pendant que Virginie appuie sur mes épaules pour que je me mette à genoux.

  • Vas-y maintenant, madame je sais tout.

Mais là je ne sais pas quoi faire. Je prends cette chose du bout des doigts, c’est le premier que je touche. Ma sœur s’impatiente :

  • Alors ! Tu veux qu’il débande ?

Je m’apprête donc à prendre ça en bouche quand me sœur me tire la tête en arrière :

  • C’est pas possible… Laisse moi te montrer, mais regarde bien.

Elle prend ma place, et en regardant le gars dans les yeux, elle commence à le lécher. Avec une main elle joue avec ses bourses et avec l’autre elle lui tient le sexe. Elle lui titille maintenant les testicules avec sa langue, il semble aimer. Ensuite elle remonte d’un coup et avale l’objet. Elle entame un mouvement long mouvement de va et vient tout en continuant à le caresser avec une main. Elle lui lèche le gland de temps à autre avant de l’enfourner complètement de nouveau. Après quelques minutes de ce traitement, l’homme vibre de tout son corps. Elle se relève :

  • J’arrête ou il va jouir… T’as bien vue, à toi maintenant. Et tend bien tes fesses en arrière.

Je reprends ma place, et m’applique sur le sexe du gars, je le lèche d’abord prudemment puis de plus en plus goulûment. Il me malaxe les seins, de manière plus brutale que ma sœur, j’aime moins. Je commence à aimer ce que je fais, j’en suis la première surprise. Ca me plait mais mon ventre n’est pas en feu. Tant mieux, je maîtrise mieux. Au plus ça me plait et au mieux je dois le faire car il a agrippé mes cheveux et tremble.

  • On dirait que ça vient vite… ça doit être dans les gènes ! Ne me fais pas honte, avale tout !

Et je sens son membre tressaillir dans ma bouche, les spasmes se succèdent et le liquide afflue dans ma gorge. J’avale ce que je peux mais j’en recrache. Le goût est spécial. Je ne peux pas dire si j’aime ou pas. En tout cas, assez paradoxalement vu ma situation, je suis assez fier de moi. Mais ma mâchoire commence à me faire mal.

  • C’est pas mal ma puce, mais pour les prochains, pense un peu plus aux couilles et à bien lécher le gland. Et n’hésite pas à saliver dessus !

Un cours de fellation, en pleine nature. Je suis nue, du sperme au coin des lèvres, à sucer des inconnus et je commence à y trouver une certaine satisfaction. Le deuxième avance, il en a vraiment une petite, ça sera moins éprouvant. Je commence à m’occuper de lui quand je sens quelque chose sous moi. Ma sœur est passé sous moi et commence immédiatement à me lécher. Mon dieu que c’est bon, et ce sexe dans ma bouche devient de plus en plus excitant. Celui là me caresse beaucoup mieux les seins et ma sœur s’acharne sur mon clito. Je redeviens folle, je dévore cette bite, j’ai envie de jouir encore ! Elle passe maintenant de mon clito à mon anus, c’est la première fois qu’on me touche là, c’est exquis. Je n’en peux plus, lui non plus ! Je lui caresse les boules et il vient encore en moi.

Cette fois j’avale tout et j’aime ça. Le sperme augmente encore mon plaisir. Je me sens partir quand d’un seul coup je sens un doigt dans mon anus, il commence un va et vient. Je me retourne, je vois Marc agenouillé à coté de la tête de ma sœur. Ca fait mal au début et puis ça passe assez vite. Les deux suivants sont maintenant devant moi, en même temps. Ils ont déjà eu le temps de bien se commencer j’espère car malgré le plaisir, je ne sais presque plus ouvrir la bouche. Le doigt coulisse tout seul et le plaisir remonte maintenant. Je ne peux plus que les lécher timidement l’un après l’autre en les masturbant mais ça ne semble pas suffire :

  • Elle triche, le deal c’était une pipe et pas une branlette ! C’est pas correct.

Ma sœur m’abandonne au bord de l’orgasme pour constater le fait :

  • C’est vrai, et les tricheuses sont toujours punies ! Venez avec moi… Marc appliquera la sentence et moi je m’occupe de vous pendant que vous regardez ça !

Elle les prend par la main et les entraîne derrière moi. Je tourne la tête pour juste avoir le temps de voir Marc cul nu, à 4 pattes derrière moi. En une seconde son doigt est remplacé par son gros manche. Ca me déchire ça fait mal. Ma sœur m’appelle, je me retourne. Elle est en train de les sucer :

  • Touche toi le clito, ça passera mieux…

J’ai les larmes aux yeux tant le douleur est forte mais j’obéis encore. Je commence à me caresser. Et tout le plaisir accumulé qu’elle n’avait pas laisser se libérer remonte vite. Et les coulissements de Marc sont de moins en moins désagréable. Que du contraire… D’un coup j’imagine la scène de plus loin. Je suis nue devant 5 mecs en tout et ma sœur, à 4 pattes avec un sexe dans l’anus et en train de me caresser. C’est tellement honteux mais délicieusement bon. Je sens que mon petit trou est encore plus écartelé par les contractions du sexe de mon t o r t i o n n a i r e . Il va jouir et je perds pieds aussi. Je suis secouée par de long spasme, nous jouissons ensemble et pour la deuxième fois je sens son liquide couler en moi. Il se retire comme la première fois, sans même s’occuper de moi. Mon cerveau reprend enfin le contrôle. Je vois ma sœur recevant le plaisir des deux hommes en pleine face et elle semble apprécier.

Le sperme dégouline entre mes fesses comme sur son visage. Les autres se gavent encore de ma nudité en me détaillant sans retenue. Celui avec la plus petite bite s’approche de moi et me tend un mouchoir avec un sourire gentil. Je suis traitée gentiment, ça faisait longtemps… Je le prends, je suis vraiment honteuse maintenant et j’aimerais partir, ou tout du moins m’habiller. Je m’essuie, ma sœur aussi. Elle remercie les gars de nous avoir aider. Je ne crois pas que ce fut vraiment désagréable pour eux mais bon… Une fois qu’ils sont remontés dans leur 4X4, elle me tend mes vêtements :

  • Tiens petite traînée, mais ne t’en fais pas, tu ne les garderas sans doute pas très longtemps, la journée ne fait que commencer ! On va aller à l’hôtel, même si on a du rater le début des festivités.

  • Merci…

Mon arrière train me fait mal mais je grimpe dans la voiture. J’appréhende le reste de la journée.

Inouck

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